Pour travailler en tant que salarié en France, l’étranger doit avoir été autorisé par l’administration française. Ce n’est qu’en cas d’accord sur la demande d’autorisation de travail qu’il peut recevoir un visa de long séjour valant titre de séjour ou une carte de séjour ou une autorisation provisoire de travail. Toutefois, dans un certain nombre de cas, l’étranger n’est pas soumis à cette autorisation. La demande d’autorisation de travail est à la charge du futur employeur.
Voir la réglementation de recrutement d’un travailleur étranger non-européen sur le site Service Public
Voir les modalités de recrutement d’un travailleur étranger non-européen sur le site Sevice public
Les ressortissants des pays hors Union européenne et pays assimilés sont tous soumis à autorisation de travail. Les lois du 24 juillet 2006 et du 20 novembre 2007 ont réorganisé les procédures de l’immigration professionnelle pour mieux les adapter au contexte économique et social et la loi du 16 juin 2011 a favorisé l’entrée en France des travailleurs hautement qualifiés ressortissants de pays tiers.
Des accords de gestion concertée des flux migratoires conclus entre la France et différents pays d’origine définissent des listes élargies de métiers en tension.
Tous les étrangers non-européens en situation irrégulière peuvent obtenir une carte de séjour salarié ou travailleur temporaire sous réserve de certaines conditions.
Les cas sont traités au cas par cas.
Renseignements issus du site Service Public, article : « Qu’est-ce que l’admission exceptionnelle au séjour par le travail ? »
Visiteurs connectés : 4
Visiteurs : 905545
fr
Informations institutionnelles
Droit aux travail des étrangers en France
Droit au travail en France des étrangers hors Union (...)
?